[Presse digitale] JeuneAfrique.com ● Dossier : Blockchain et cryptomonnaies, des technologies pour l’Afrique
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[ JeuneAfrique.com ⎟ Édition numérique ⎟ Archive du 04 janvier 2018 ]
ALGÉRIE ⎟ Start-up de la semaine : déboutée de l’Algérie, la cryptomonnaie de KodePay met le cap sur le Kenya
Une application pour faciliter les paiements en ligne, une banque virtuelle, une cryptomonnaie… Tout était prêt ou presque pour lancer KodePay en Algérie. Mais l’État se raidissant devant les monnaies virtuelles, c’est à Nairobi que la start-up démarrera finalement ses activités. Par Nelly Fualdes
Premières lignes Avec sa start-up KodePay, Nassym Louradi s’apprêtait à lancer depuis l’Algérie sa banque virtuelle et sa cryptomonnaie. C’était sans compter la loi de finance algérienne 2018 et l’interdiction du Bitcoin et autres monnaies virtuelles. (…)
L’article complet en ligne : https://www.jeuneafrique.com/507353/economie/start-up-de-la-semaine-deboutee-de-lalgerie-la-cryptomonnaie-de-kodepay-met-le-cap-sur-le-kenya/
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[ JeuneAfrique.com ⎟ Édition numérique ⎟ Archive du 22 mars 2018 ]
CÔTE D’IVOIRE ⎟ Le « Watercoin », une cryptomonnaie pour sécuriser l’accès à l’eau en Afrique
Ce jeudi 22 mars, à l’occasion de la Journée mondiale de l’eau, la start-up toulousaine O’Claire lance le Watercoin, une cryptomonnaie dédiée à l’achat d’eau potable à bas prix. L’entreprise s’apprête à lever une vingtaine de millions d’euros pour développer son système, notamment en Côte d’Ivoire, au Sénégal et au Kenya. Par Océane Lerouge
Premières lignes À l’origine de la création du Watercoin, un constat : l’eau potable va devenir une denrée rare, et donc chère, dans les années à venir. La société ambitionne donc d’influencer le prix du cours de l’eau dans les zones où cette problématique deviendra bientôt une urgence, avec un défi de taille : initier un cours mondial de l’eau potable. (…)
L’article complet en ligne : https://www.jeuneafrique.com/544348/economie/le-watercoin-une-cryptomonnaie-pour-securiser-lacces-a-leau-en-afrique/
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[ JeuneAfrique.com ⎟ Édition numérique ⎟ Archive du 08 août 2018 ]
MAROC ⎟ À Dakhla, une ferme éolienne en préparation pour alimenter une « mine » à cryptomonnaie
Brookstone Partners, un fonds américain, lance un projet de centrale éolienne à Dakhla. La production électrique sera utilisée pour le minage de cryptomonnaie. Par El Mehdi Berrada
Premières lignes C’est un projet novateur qui se prépare à Dakhla. Pour un coût compris entre 1,5 et 3 milliards de dollars, le fonds d’investissement américain Brookstone Partners veut y construire d’ici cinq ans une ferme éolienne, d’une capacité de production annuelle à terme de 900 mégawatts (MW). L’électricité produite sera utilisée pour alimenter une mine à cryptomonnaie.
L’article complet en ligne : https://www.jeuneafrique.com/613188/economie/a-dakhla-une-ferme-eolienne-en-preparation-pour-alimenter-une-mine-a-cryptomonnaie/
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[ JeuneAfrique.com ⎟ Édition numérique ⎟ Archive du 17 août 2018 ]
GUINÉE ⎟ Start-up de la semaine : Eleis Farm, la jeune pousse guinéenne qui combine huile de palme et blockchain
Avec Eleis Farm, deux frères guinéens se sont lancés dans l’aventure de l’huile de palme équitable, introduisant la blockchain pour certifier leur production. Par Rose-Marie Bouboutou
Premières lignes Les frères Barry ont lancé leur entreprise sociale en 2014, avec quelques milliers de dollars d’économie. Deux coups de fil reçus successivement par Hafi, l’aîné, créent chez lui un déclic. Le premier vient d’un exportateur qui, profitant de la chute de la devise guinéenne, souhaitait passer une large commande. Le deuxième émane du secrétaire général d’une coopérative, cherchant à vendre moins d’une dizaine de bidons d’huile, pour permettre aux femmes de son groupe d’acheter du riz pour l’hivernage. (…)
L’article complet en ligne : https://www.jeuneafrique.com/616588/economie/start-up-de-la-semaine-eleis-farm-la-jeune-pousse-guineenne-qui-combine-huile-de-palme-et-blockchain/
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[ JeuneAfrique.com ⎟ Édition numérique ⎟ Archive du 05 septembre 2018 ]
INTERNATIONAL ⎟ [Analyse] La « blockchain », l’héritage prometteur du bitcoin
La bulle a fini par éclater. Depuis avril, le bitcoin évolue entre 5 000 et 8 000 dollars, après avoir atteint près de 19 000 dollars en décembre 2017. Par Julien Clémençot
Premières lignes L’écroulement de ce marché est la preuve de la dimension spéculative de la cryptomonnaie, jugeait récemment le Financial Times. Les traders ont changé de cible pour d’autres occasions de profits. Au plus fort de l’engouement, ils avaient soutenu les cours de nombreux avatars du bitcoin. Début janvier, 39 cryptomonnaies totalisaient une valeur supérieure à 1 milliard d’euros. (…)
L’article complet en ligne : https://www.jeuneafrique.com/mag/622483/economie/analyse-la-blockchain-lheritage-prometteur-du-bitcoin/
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[ JeuneAfrique.com ⎟ Édition numérique ⎟ Archive du 06 septembre 2018 ]
AFRIQUE DU SUD, OUGANDA & ZIMBABWE ⎟ Start-up de la semaine : Wala mise sur la technologie blockchain pour digitaliser les échanges monétaires
L’application Wala, lancée en avril dernier, permet aux utilisateurs de transférer de l’argent gratuitement de téléphone portable à téléphone portable. Présents en Afrique du Sud, en Ouganda et au Zimbabwe, ses concepteurs ont de grandes ambitions : “Pousser une population entière à passer de l’argent liquide au digital”. Par Laure Broulard
Premières lignes Samer Saab brandit fièrement un chèque de 100 000 dollars, sous les applaudissements de dizaines de jeunes entrepreneurs du continent africain. Nous sommes à Nairobi le 29 août dernier et la jeune pousse Wala vient de recevoir le prix Zambezi pour l’inclusion financière, remis par le MIT Legatum Center et la fondation Mastercard lors de l’Open Mic Africa Summit. (…)
L’article complet en ligne : https://www.jeuneafrique.com/625363/economie/start-up-de-la-semaine-wala-mise-sur-la-technologie-blockchain-pour-digitaliser-les-echanges-monetaires/
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[ JeuneAfrique.com ⎟ Édition numérique ⎟ Archive du 11 janvier 2019 ]
TUNISIE ⎟ Tunisie : la blockchain, un levier de croissance ?
Bien au-delà des crypto-monnaies, cette technologie pourrait être à l’origine d’importants bouleversements dans le secteur bancaire. La Tunisie, pionnière dans la région, a lancé plusieurs projets. Par Mathieu Galtier
Premières lignes Réduire le temps de transaction de plusieurs jours à quelques secondes ; supprimer le recours aux devises étrangères ; proposer une alternative au « tout-cash », source de contrebande ; ou encore séduire les investisseurs internationaux avec des solutions fintech. Voilà un aperçu des avantages que pourraient tirer les pays d’Afrique du Nord en adoptant la technologie « blockchain » (littéralement « chaîne de blocs »). Et Tunis est décidé à prendre les devants. (…)
L’article complet en ligne : https://www.jeuneafrique.com/mag/645909/economie/tunisie-la-blockchain-un-levier-de-croissance/
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[ JeuneAfrique.com ⎟ Édition numérique ⎟ Archive du 21 juin 2019 ]
PANAFRICAIN ⎟ Cryptomonnaie de Facebook : quel impact aura Libra en Afrique ?
Le réseau social américain a annoncé, le 18 juin, le lancement d’une cryptomonnaie baptisée Libra. Mise en circulation en 2020, elle pourrait notamment bousculer les acteurs traditionnels du transfert d’argent. Par Quentin Velluet
Extrait (…) Parmi les partenaires les plus connus, les systèmes de paiement Visa, MasterCard et Paypal, le courtier en ligne eBay, le service de VTC Uber, ou encore la plateforme de streaming musical Spotify. Aucun groupe africain à l’horizon pour le moment. Mais la fondation espère réunir d’ici la fin de l’année une centaine d’organismes. C’est pourquoi Dante Disparte, porte-parole du projet, ne rejette pas l’idée d’intégrer des groupes du continent : « Nous aimerions compter des banques ou encore des opérateurs télécoms comme MTN ou Safaricom », avance-t-il. (…)
https://www.jeuneafrique.com/791883/economie/cryptomonnaie-de-facebook-quel-impact-aura-libra-en-afrique/
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[ JeuneAfrique.com ⎟ Édition numérique ⎟ Archive du 14 novembre 2019 ]
NIGERIA ⎟ Les cryptomonnaies se fraient un chemin dans la finance africaine
Si les plateformes d’échange de cryptomonnaies sont généralement accessibles aux détenteurs d’euros ou de dollars, c’est désormais au tour du naira nigérian d’être accepté par l’une d’elle, Binance. Le Kenya et l’Afrique du Sud sont également dans le viseur de la société. Par Antoine Galindo
Premières lignes Il est désormais possible de stocker, acheter, échanger et revendre des nairas nigérians contre des bitcoins et une centaine d’autres cryptomonnaies directement depuis la plateforme Binance. Le géant chinois siégeant à Malte s’ouvre à la monnaie fiduciaires (ou monnaies Fiat) de la première économie africaine. Et pour l’occasion, c’est le naira nigérian qui servira de ballon d’essai. (…)
https://www.jeuneafrique.com/856620/economie/les-cryptomonnaies-se-fraient-un-chemin-dans-la-finance-africaine/
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[ JeuneAfrique.com ⎟ Édition numérique ⎟ Archive du 18 novembre 2019 ]
KENYA ⎟ Au Kenya, la lutte contre le blanchiment d’argent et la fraude fiscale passe la monnaie au peigne fin
Les échanges illicites sont dans le viseur du gouvernement kenyan, qui, après une série de lois restrictives, a entrepris de sortir les billets les plus fréquents de la circulation pour lutter contre l’évasion fiscale et le blanchiment d’argent. La mesure parachève la surveillance de la monnaie mobile et la répression des cryptomonnaies décentralisées. Par Claudia Lacave
Premières lignes La Banque centrale du Kenya (CBK) a annoncé début octobre l’achèvement du remplacement des billets de 1 000 shillings kenyans (environ 8,8 euros) par de nouvelles devises. L’opération, qui a duré quatre mois, visait d’une part à satisfaire la Constitution de 2010, en supprimant toute personnalité politique de la surface des billets, et d’autre part à lutter contre la monnaie illicite, l’évasion fiscale et le blanchiment d’argent. (…)
L’article complet en ligne : https://www.jeuneafrique.com/857235/economie/au-kenya-la-lutte-contre-le-blanchiment-dargent-et-la-fraude-fiscale-passe-la-monnaie-au-peigne-fin/
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[ JeuneAfrique.com ⎟ Édition numérique ⎟ Archive du 02 janvier 2020 ]
MAROC ⎟ Le Maroc interdit les cryptomonnaies, mais soutient les blockchains professionnelles ou institutionnelles
Si le bitcoin n’est pas le bienvenu au Maroc, les autorités redoublent en revanche d’efforts pour y faire une place aux projets de blockchains à usage professionnel, sous l’impulsion des entreprises marocaines ou françaises qui y voient des opportunités, ou à usage institutionnel, l’État réfléchissant à sa propre modernisation. Par Clémentine Pougnet
Premières lignes Le 18 décembre, la banque BMCE Bank of Africa et l’Association marocaine des exportateurs (Asmex) ont organisé une conférence à Casablanca pour promouvoir les “applications possibles pour le commerce extérieur au Maroc” de la technologie blockchain. Cette “chaîne de blocs” (littéralement) fonctionnant comme un registre distribué (décentralisé) intéresse tout particulièrement le secteur de la logistique, où les contraintes administratives et relatives à la traçabilité sont une préoccupation que la blockchain se propose, à terme, de simplifier. La cryptomonnaie est l’une des applications de ces registres distribués. (…)
L’article complet en ligne : https://www.jeuneafrique.com/871850/economie/le-maroc-interdit-les-cryptomonnaies-mais-soutient-les-blockchains-professionnelles-ou-institutionnelles/
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[ JeuneAfrique.com ⎟ Édition numérique ⎟ Archive du 24 janvier 2020 ]
KENYA ⎟ Au Kenya, la blockchain entre dans le quotidien
Le Kenya, berceau du paiement mobile, est aussi en pointe sur le développement de la blockchain. Cette technique y est utilisée pour échanger des marchandises, assurer la traçabilité des produits ou même acquérir des obligations d’État. Par Claudia Lacave
Premières lignes Bitcoin, cryptomonnaie, peer-to-peer, et maintenant blockchain… Le système, aussi appelé chaîne de blocs, est une façon de stocker et d’échanger des informations à travers plusieurs ordinateurs qui forment ainsi un réseau. Dispersées, les informations sont protégées. Elles nécessitent un mot de passe, détenu uniquement par les intéressés, pour être assemblées, rendues compréhensibles et utilisées. La technique apparaît avec la première cryptomonnaie, en 2009. Elle trouve aujourd’hui des applications tant financières qu’environnementales, sociales ou managériales. L’Afrique n’est pas en reste sur le sujet et au Kenya, berceau du paiement mobile, entrepreneurs et gouvernement se mettent en branle. (…)
L’article complet en ligne : https://www.jeuneafrique.com/884850/economie/au-kenya-la-blockchain-entre-dans-le-quotidien/