[Revue de presse] ● Libra : Le temps des doutes et des inquiétudes
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[ Le Temps ⎟ Édition du 04 octobre 2019 ⎟ Page 15 ]
Face à la libra, les banques centrales frémissent
Le projet de monnaie numérique emmené par Facebook pourrait profondément perturber les politiques monétaires. Peut-être dans un sens favorable, si des banques centrales lancent leur propre cryptomonnaie. Par Sébastien Ruche
Premières lignes (…) Avec plus de deux milliards d’utilisateurs potentiels, la future monnaie numérique soutenue par Facebook veut créer un système de paiement parallèle, plus rapide et moins coûteux que les existants. Et probablement hors du contrôle des autorités monétaires. Pour quels risques? Et quelles conséquences pour les banques centrales, qui pourraient perdre de leur influence? (…)
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[ LesEchos.fr ⎟ Édition numérique ⎟ 04 octobre 2019 ]
Libra : Paypal a des doutes sur la cryptomonnaie de Facebook
Le spécialiste des paiements en ligne serait sur le point de quitter le projet Libra. La société, la seule à être absente lors d’une réunion clef sur le projet, s’inquiéterait des réticences des Etats, et du fait que la cryptomonnaie puisse être utilisée pour blanchir de l’argent. Par Leïla Marchand
Premières lignes (…) Les vives critiques que suscite le Libra auraient-elles achevé de décourager Paypal ? Le spécialiste américain des paiements électroniques serait sur le point de quitter le projet de cryptomonnaie de Facebook, d’après le « Financial Times ». (…)
L’article complet en ligne : https://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/libra-paypal-a-des-doutes-sur-la-cryptomonnaie-de-facebook-1137345
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[ EcoRéseauBusiness ⎟ Édition d’octobre 2019 ⎟ Pages 30-31 ]
Cryptomonnaies en guerre. Faut-il sauver le soldat Libra?
États, entreprises, particuliers : les projets de création de cryptomonnaies s’accélèrent ces dernières semaines. Une course à l’armement aux enjeux planétaires. Par Pierre Havez
Extrait (…) « Le libra représente plusieurs dangers. Il s’agit d’abord d’une tentative de privatisation d’Internet, qui a été créé sans monnaie native. Facebook pourrait ainsi se livrer à du chantage sur les résultats de son algorithme auprès de ceux qui choisissent de ne pas utiliser sa monnaie, avance Clément Jeanneau, cofondateur du cabinet Blockchain Partner. Puis surgissent les risques d’atteinte à la confidentialité des transactions. En outre, la possibilité pour Facebook d’analyser ces données financières combinées à ses données sociales actuelles lui conférerait un pouvoir inédit et dangereux. Enfin, le libra se fonde sur un panier de devises : Facebook pourrait à terme menacer l’économie de ces États en abaissant la part de leur devise dans ce panier en cas de décision contraire à ses intérêts. Ce serait l’émergence inquiétante d’un proto-État. (…) » -> (…)
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[ Investir ⎟ Édition du 5 octobre 2019 ⎟ Page 19 ]
Facebook : les «amis» de Libra en plein doute
Par Rémy Demichelis
Extrait (…) Comme a cru bon de le rappeler Al Kelly, directeur général de Visa, lors d’une conférence en juillet : « Personne ne s’est encore officiellement joint. » (…) Autant dire que le projet en est au stade embryonnaire et qu’il n’est pas sûr d’arriver à terme. (…)
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[ Le Temps ⎟ Édition du samedi 05 octobre 2019 ⎟ Page 17 ]
Paypal serait sur le point de quitter le projet Libra de Facebook
L’entreprise américaine de paiements en ligne Paypal serait sur le point de quitter le projet Libra lancé par Facebook, a rapporté vendredi le «Financial Times».
Par AFP
Premières lignes Selon le Financial Times (FT), les 28 premiers partenaires du projet de cryptomonnaie mondiale de Facebook devaient se réunir à Washington jeudi pour étudier les réponses possibles aux critiques de régulateurs financiers, mais une source du journal britannique présente à la réunion indique que l’unique absence était celle de Paypal. (…)
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[ Le Figaro ⎟ Édition du samedi 5 et dimanche 6 octobre 2019 ⎟ Page 21 ]
PayPal s’éloigne de l’aventure libra
Extrait (…) Son absence brille d’autant plus que des rumeurs de désengagement du projet privé de monnaie digitale courent depuis plusieurs semaines. « Je pense qu’il y a encore beaucoup de travail avant que nous arrivions au stade où cela devient plus qu’une idée enthousiasmante », avait indiqué mi-septembre la directrice des relations investisseurs de PayPal pour y répondre. (…)
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[ LeMonde.fr avec AFP ⎟ Édition numérique ⎟ 05 octobre 2019 ]
PayPal se retire de libra, le projet de monnaie numérique de Facebook
PayPal, qui devait investir au moins 10 millions de dollars dans le projet comme Mastercard et Visa, n’a pas donné les raisons de son changement d’avis.
Extrait (…) « Nous continuons à nous concentrer sur notre mission et nos priorités stratégiques : démocratiser l’accès aux services financiers des populations mal desservies », a simplement indiqué le groupe. Une source proche de l’entreprise a expliqué au Financial Times qu’il « semblerait qu’il n’y ait eu que peu de travail de préparation fait avec les régulateurs financiers » et que les services de paiements tels que PayPal ne souhaitaient « pas voir l’attention des régulateurs déborder sur leurs affaires ». L’entreprise a par ailleurs précisé rester « favorable aux aspirations de libra et [avoir] hâte de continuer le dialogue sur des manières de travailler ensemble à l’avenir ».
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[ Les Echos ⎟ Édition du lundi 07 octobre 2019 ⎟ Page 31 ]
Libra : PayPal se retire du projet de Facebook
Le spécialiste américain des paiements électroniques s’inquiétait des réticences des Etats, et du fait que la cryptomonnaie puisse être utilisée pour le blanchiment. Un coup dur pour Facebook et le libra. Par Leïla Marchand
Extrait (…) PayPal n’est pas le seul à nourrir des doutes. Visa et Mastercard, deux futurs membres du consortium de gestion de Libra, seraient en train de « reconsidérer leur implication », d’après un article publié mardi dans le « Wall Street Journal ». L’agence Bloomberg ajoute que Stripe, spécialiste des paiements en ligne, hésiterait également à s’engager. (…)
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[ Le Figaro ⎟ Édition du lundi 07 octobre 2019 ⎟ Page 25 ]
Bruxelles interroge Facebook sur le libra
Extrait (…) L’objectif de la Commission européenne est de déterminer si un nouveau cadre législatif est nécessaire pour encadrer le libra et d’autres projets similaires. Voire s’il serait mieux de les interdire purement et simplement sur le sol européen. (…)
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[ La Croix ⎟ Édition du 07 octobre 2019 ⎟ suivi de l’article en ligne du 06 octobre 2019 ]
L’avenir en question du libra
L’entreprise de services de paiement PayPal a annoncé vendred i4 octobre 2019 qu’elle ne prendrait pas part, finalement, au projet de monnaie numérique porté par Facebook. Une décision qui pourrait être suivie par d’autres et qui fragilise un peu plus le libra. Par Marie Dancer,
Extrait (…) Des obstacles qui conduisent certains experts à prédire l’échec plus ou moins rapide du projet de Facebook. Les pouvoirs publics sont néanmoins conscients que les bouleversements technologiques doivent les amener à prendre au sérieux le concept de monnaie virtuelle, et envisagent de lancer eux-mêmes des monnaies numériques afin d’en garder le contrôle. (…)
L’article complet en ligne : https://www.la-croix.com/Economie/Monde/Lavenir-question-libra-2019-10-06-1201052415
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[ LesEchos.fr ⎟ Édition du mercredi 09 octobre 2019 ⎟ Page 10 ]
Libra ou la nouvelle pyramide de Ponzi
Jouer le rôle d’une banque sans en respecter la réglementation ne peut conduire qu’à la faillite. Le projet de création de monnaie du fondateur de Facebook, du fait de son nombre d’utilisateurs, fait ainsi courir un risque systémique global à l’économie. Par Jean Peyrelevade, économiste.
Premières lignes (…) Tout le monde connaît plus ou moins les exploits de John Law. En 1716, le financier écossais est autorisé par un édit du Régent à créer une banque privée, la Banque générale, qui deviendra ensuite la Banque royale. Le capital est levé par appel à l’épargne publique, les actionnaires n’ayant à verser en espèces métalliques qu’un cinquième de la valeur des titres et bénéficiant d’un dividende garanti de niveau élevé. Charles Ponzi, inventeur dans les années 1920 de la pyramide de même nom, avait donc eu un illustre prédécesseur.
L’article complet en ligne : https://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/libra-ou-la-nouvelle-pyramide-de-ponzi-1138183
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[ Fondation Robert Schuman ⎟ Édition numérique ⎟ 07 octobre 2019 ]
La Fondation Robert-Schuman est un laboratoire d’idées pro-européen créé en 1991.
Quel avenir pour le Libra ?
Facebook a annoncé officiellement en mai dernier son intention de lancer le Libra, une crypto- monnaie « institutionnelle » destinée à faciliter les paiements sur les sites marchands d’un certain nombre de sites affiliés à Facebook et à ses partenaires. La liste des membres de la Libra Association, associés au lancement de la crypto-monnaie, est impressionnante et témoigne du sérieux du projet. Elle comprend des entreprises de technologie, notamment de sites marchands comme Facebook, Booking, eBay, Uber, Spotify, etc. ; ou affiliées à la Blockchain comme Coinbase, Anchorage, etc. ; mais aussi des groupes de téléphonie mobile tels que Vodafone, Iliad, etc. ; plusieurs groupes de Venture capital, mais aussi des ONG, Women’s World Banking, Mercy Corps, etc. Enfin et surtout, des acteurs majeurs de l’industrie du paiement : MasterCard, Visa, etc. Par Olivier Perquel
Premières lignes (…) Le Libra va-t-il constituer le premier succès de l’idéologie libertaire qui a participé du lancement des crypto-monnaies et qui ambitionnait de constituer une alternative aux monnaies d’Etat ? Le caractère institutionnel de cette crypto-monnaie va-t-il suffire à assurer son succès ? Les gouvernements n’ont pas tardé à manifester plus ou moins vivement leur scepticisme à l’égard de ce projet. Au point que Paypal s’est retiré et que certains autres membres de l’association penseraient également déjà à prendre leurs distances. Le débat est ouvert. Les enjeux sont majeurs. Sans prétendre présumer du futur, précisons les enjeux de ce débat. (…)
L’article complet en ligne : https://www.robert-schuman.eu/fr/questions-d-europe/0530-quel-avenir-pour-le-libra
L’étude au format PDF : https://www.robert-schuman.eu/fr/doc/questions-d-europe/qe-530-fr.pdf
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[ LeMatin.ch ⎟ Édition numérique ⎟ 11 octobre 2019 ]
LeMatin.ch est la version numérique du journal suisse ayant remplacé l’édition papier depuis juillet 2018.
Monnaie de Facebook la libra est moins décriée en suisse qu’ailleurs.
La Suisse réserve un meilleur accueil à la future monnaie de Facebook, vivement critiquée sous d’autres cieux.
Premières lignes Sous le feu nourri des critiques de milieux politiques et financiers, notamment aux Etats-Unis et en Europe, la future monnaie numérique Libra semble faire moins de remous en Suisse. Des experts voient les attaques comme un signe que le projet dérange l’ordre établi, au-delà des craintes légitimes qu’il peut susciter. (…)
L’article complet en ligne : https://www.lematin.ch/economie/La-Libra-est-moins-decriee-en-Suisse-qu-ailleurs/story/16929541
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[ Les Echos ⎟ Édition du mardi 15 octobre 2019 ⎟ Page 28 ]
Libra, la devise de Facebook se heurte au mur réglementaire
Le projet de devise 2.0 mondiale du géant américain fait l’unanimité contre lui chez les régulateurs et l’establishment financier. Il va devoir satisfaire de nombreuses règles et contraintes, susceptibles de reporter son lancement, sinon le remettre en cause. Par Nessim Aït-Kacimi
Premières lignes Visiblement agacés d’avoir été mis au pied du mur par Facebook, les régulateurs de toute la planète ne font aucune concession et multiplient les réserves et obstacles. Ils veulent s’assurer que tous les risques de son projet de monnaie libra sont supportés et assurés par lui et qu’ils n’affectent pas le reste du système financier.
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[ L’Opinion ⎟ Édition du jeudi 17 octobre 2019 ⎟ Page 8 ]
«Libra: contre les Gafa, les Etats».
La chronique de Philippe Mudry
Premières lignes La bataille engagée par les Etats pour contrôler le projet de monnaie numérique Libra de Facebook est la plus importante qu’ils aient jamais livrée contre les Gafa. Elle est la plus claire manifestation d’une lutte pour la souveraineté sans équivalent depuis que l’Etat moderne, à base géographique, linguistique et culturelle, est devenu le standard du gouvernement des hommes. (…)
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[ LeFigaro.fr⎟ Édition numérique ⎟ 18 octobre 2019 ]
Tir de barrage à Washington contre la cryptomonnaie Libra
Un rapport remis aux ministres du G7 souligne les nombreux risques associés aux devises numériques comme celle soutenue par Facebook. Bruno Le Maire s’y oppose fermement. Par Fabrice Nodé-Langlois
Premières lignes Qui aurait pu imaginer, il y a un an encore, que le projet d’une monnaie digitale mené par une entreprise de la Silicon Valley soit au cœur des réunions annuelles du FMI et de la Banque mondiale, les deux piliers septuagénaires du système financier mondial? C’est bien ce qui se produit avec le Libra, ce projet de cryptomonnaie mené par Facebook. Même si plusieurs partenaires de Facebook dont Visa, Mastercard et Paypal viennent de quitter l’alliance sous le feu des critiques, le potentiel d’une monnaie électronique lancée par un réseau social fort de 2,4 milliards de membres est suffisamment déstabilisateur pour être pris au sérieux par les grands argentiers de la planète. (…)
L’article complet en ligne : https://www.lefigaro.fr/societes/tir-de-barrages-a-washington-contre-la-cryptomonnaie-libra-20191018
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[ L’Opinion ⎟ Édition du vendredi 18 octobre 2019 ⎟ Pages I & III ]
Comment la libra s’est fracassée sur le mur dressé par Washington
Par AnnaMaria Andriotis, Peter Rudegeair et Liz Hoffman
Extrait Premières lignes En mai, David Marcus a réuni une équipe au siège social de Facebook pour porter un toast à un projet confidentiel dont le lancement était prévu un an plus tard : un système de paiement de type bitcoin qui, selon le géant des réseaux sociaux, allait bouleverser le flux financier international. « Nous allons changer le monde », a alors lancé aux employés réunis M. Marcus, dirigeant de Facebook et architecte du projet, tout en sirotant du champagne, selon une source au fait du sujet. Il s’avère que changer le monde n’est pas si facile. Cinq mois plus tard, libra est sous assistance respiratoire après le départ du projet de soutiens de premier plan sous la pression des parlementaires et des régulateurs. Le président Trump, le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, et la représentante démocrate, Maxine Waters, présidente de la commission des services financiers de la Chambre des représentants — trois personnes qui s’entendent habituellement sur peu de sujets — l’ont tous critiqué. Les responsables européens tentent également de leur côté d’empêcher son lancement. -> (…)
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[ Le Figaro ⎟ Édition du samedi 19 et dimanche 20 octobre 2019 ⎟ Page 24 ]
Les pays du G7 disent non au libra, la cryptomonnaie de Facebook
Par Fabrice Nodé-Langlois
Extrait (…) «Le libra n’est pas le bienvenu sur le territoire européen», appuie le ministre français Bruno Le Maire. (…) Les vrais dangers proviennent selon lui de la puissance potentielle du libra, estime le ministre français, reprenant les arguments du rapport Cœuré. «Dans les pays où la population a très peu accès aux comptes bancaires (1,7 milliard d’êtres humains sont encore non bancarisés), Facebook peut prendre la place de l’État, le privant de sa souveraineté monétaire, met en garde le ministre français. Nous n’acceptons pas qu’une multinationale ait la même puissance qu’un État soumis, lui, au contrôle démocratique.» (…)
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[ Le Temps ⎟ Édition du samedi 19 octobre 2019 ⎟ Page 17 ]
La libra fait face à un front réglementaire au G7
La condition sine qua non pour lancer les cryptomonnaies stables, à l’instar de la libra de Facebook, est l’instauration d’un cadre juridique, ont convenu jeudi soir les ministres des Finances du G7 réunis à Washington. Par AFP
Extrait (…) La réunion du G7 Finances et les déclarations de Lael Brainard [membre du directoire de la Fed, NDLR] interviennent une semaine avant que le patron de Facebook, Mark Zuckerberg, ne témoigne devant une commission financière de la Chambre des représentants le 23 octobre. (…)
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[ Le Monde ⎟ Édition du mardi 22 octobre 2019 ⎟ Page ]
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Libra : Ne pas prendre le libra pour argent comptant
Par Stéphane Lauer, éditorialiste
Premières lignes (…) Quel Mark Zuckerberg va se présenter, mercredi 23 octobre, devant la commission des services financiers de la Chambre des représentants des Etats-Unis pour défendre le libra, son projet de cryptomonnaie ? Le jeune patron de Facebook, propre sur lui, prêt à s’excuser de tous les manquements de sa société tentaculaire, et capable de promettre, la main sur le cœur, que tout est sous contrôle ? Ou bien sera-t-il ce geek arrogant, prêt à en découdre avec Elizabeth Warren, la favorite des sondages dans la primaire démocrate, au cas où celle-ci se mettrait en travers de sa route ? (…)
